Débuts laborieux...

Avec seulement 41 heures 15, le mois de janvier est au niveau de l'année dernière, à une heure près. Cest évidemment un début d'année décevant mais la météo en est seule responsable. Espérons que février sera mieux et que l'on rattrapera le retard pris en ce premier mois. 

Espérons notamment que nos pilotes brevetés prendront goût à utiliser le Régent, qui, malgré le tarif horaire affiché, n'est pas réellement plus onéreux que le QN, surtout en voyage, en procurant un confort de vol sensiblement supérieur.

En effet, avec une vitesse moyenne de 5 kts supérieure et une comptabilité des temps basée sur le tachymètre et non l'horamètre, une navigation de plus de 50 nm ne reviendra pas plus cher, et même peut être moins cher, qu'avec le QN. Faites vos comptes !

Vie associative

L'accès au club est libre pour tous ses membres ; c'est un signe fort qui doit rappeler à chacun qu'il y est chez lui, ce qui lui confère le droit d'utiliser les locaux en fonction de ses besoins, mais aussi des obligations lorsqu'il s'y trouve, afin d'une part d'assurer aux autres membres le même confort, mais aussi de prendre sa part à la vie du club.

Par exemple, en ces temps hivernaux, si l'on se trouve dans le clubhouse en fin d'après midi, qu'il est probable que personne d'autre ne viendra, pourquoi ne pas regarder le niveau de pellets dans le poële et en rajouter un sac, pour assurer le chauffage jusqu'au lendemain ? 

De même, si le téléphone sonne, il est indispensable de répondre ; l'appel peut émaner d'un service de secours qui nous envoie un avion en perdition (cela s'est produit il n'y a pas si longtemps) ou est à la recherche d'un avion qui n'a pas quitté avec le SIV.

Et bien sûr, les consommations prises au bar doivent être payées ; il n'y a pas de caméra ni de contrôle, la confiance est la règle, mais la confiance, cela se mérite...

Les beaux jours sont -presque - là !

Certains pilotes ont tendance à "hiberner" durant la mauvaise saison, et il n'est pas rare que certains se retrouvent aux premiers beaux jours à court d'expérience récente. La réglementation prévoit qu'il n'est pas autorisé d'embarquer des passagers si l'on a pas effectué au moins trois décollages et trois atterrissages dans les trois derniers mois. Mais le règlement intérieur du club va plus loin, et prévoit dans son article 7 que tout pilote qui ne remplit pas ces conditions doit obtenir l'autorisation expresse d'un instructeur ou du Président avant d'effectuer son premier vol. 

Le principe est d'encourager les pilotes à profiter de cette reprise pour passer un moment avec un instructeur, en rappelant si cela est nécessaire que la double commande reste gratuite pour les pilotes brevetés.

Evidemment, cette autorisation sera donnée avec ou sans l'obligation d'un "vol de reprise", en fonction de l'expérience totale du pilote, mais en tout état de cause, il faut bien comprendre que cette mesure ne constitue en aucun cas une brimade, mais uniquement une mesure de prudence, dans le seul objectif d'assurer la sécurité des vols.