Cotisations 2018

La fin de l'année se profile déjà et il est temps de penser à la cotisation 2018. Vous pouvez la souscrire dès maintenant, ne serait-ce que pour éviter au secrétariat l'habituelle surcharge de travail de la deuxième quinzaine de décembre.

Le montant de la cotisation membre actif restera encore inchangé cette année à 150 €, avec un demi tarif pour les moins de 21 ans et le deuxième membre d'une même famille. 

Pour les membres honoraires (c'est à dire les membres qui ne pratiquent pas l'activité aéronautique de l'aéroclub), la cotisation passera de 60 à 75 €, comme cela avait été décidé lors de l'assemblée générale de février 2017.

Côté FFA, une petite augmentation de 2 € passe la licence assurance de base à 76 € et 116 € avec l'abonnement à la revue fédérale Info Pilote.

Les membres actifs, pilotes brevetés comme élèves, recevront dans quelques jours par mail les formulaires de réinscription (club et FFA), qu'il leur suffira de remplir le plus complètement possible et déposer au secrétariat. Pour des raisons de facilité, ne joignez pas votre règlement à ces formulaires comme vous le faisiez les années précédentes, mais alimentez votre compte pilote dans AEROGEST ; l'opération comptable se fera automatiquement lors de la saisie de votre réinscription. 

Baptêmes à gogo !

Ceux d'entre vous qui sont passés au club samedi ou dimanche ont pu être surpris par le nombre de visiteurs et le nombre de vols effectuées par les deux DR400. Et pour cause, puisque ce ne sont pas moins de 85 personnes qui ont participé à une opération "baptêmes de l'Air", réalisés dans le cadre d'un partenariat avec l'Association des jeunes de Cepoy (45120). 

Cette année, le club a fait évoluer sa communication externe, qui était précédemment axée sur les journées portes ouvertes de septembre. Il était appparu en 2016 que le modèle de cette manifestation, pour autant sympatique, était passablement "essouflé" et déplaçait de moins en moins de visiteurs. 

A l'initiative de Raynald CAPUCCIATI, qui en a assuré l'essentiel du travail, le club est allé à la rencontre des autres acteurs locaux (communes, centres aérés et associations de loisir notamment) pour leur proposer de découvrir notre activité dans un cadre économique particulièrement accessible. Cette opération, baptisée 'l'aéroclub dans la cité" a connu un réel succès pour sa première année ; nous avons recu sur la plateforme depuis sa première session en mai plusieurs centaines de personnes, dont un peu plus de deux cent ont effectué un vol, souvent leur premier d'ailleurs.

Bien sûr, ces baptêmes, facturés 15 € par personne, n'ont duré qu'une quinzaine de minutes, mais ont fait des heureux, ce qui n'est déjà pas si mal, et sans doute donné envie à certains de revenir. Pour le club, si l'activité n'a pas la "rentabilité" des baptêmes vendus séparément, cela a fait voler les avions, et surtout donne de l'aéroclub et de l'aviation de loisir une image sans doute moins élitiste.

Sur le plan réglementaire, l'activité de baptême étant limitée à 8% maximum des heures de vol, l'aéroclub qui augmentera encore le nombre de ces heures en 2017 dispose encore d'une marge de manoeuvre pour développer cette activité en 2018, ce qu'il compte bien faire en augmentant le nombre de ses partenaires ! 

Parlons sécurité

L'automne est la saison des brumes et brouillards, qui ne sont pas, loin s'en faut, les amis des pilotes. Bien évidemment, le pilote avisé ne prendra pas le risque d'engager un vol s'il ne voit pas le hangar "planeurs" depuis le clubhouse ! Mais il se peut aussi, notamment en cette saison, qu'une visibilité  paraissant bonne vue du sol se révèle bien insuffisante en l'air et, bien pire, que l'on se retrouve tout à coup, même durant quelques secondes, privé de repère externe. Demandez-donc à des pilotes de littoral ce qu'ils pensent des brumes de mer !

Dans nos régions, les phénomènes les plus fréquents, notamment aux abords des aérodromes, sont les formations rapides de brouillard et les stratus (généralement peu épais toutefois) suspendus à quelques centaines de pieds au dessus du terrain sur lequel on s'apprête à se poser, et en plein dans le circuit d'approche. 

Dans le premier cas (formation rapide de brouillard), il n'y a qu'une solution : s'éloigner, aller ailleurs et surtout ne pas chercher à se poser à toute force. Le second cas se trouve souvent dans un moment de dégradation rapide des conditions, qui ne permet pas de dégager la zone. 

Le passage en IMC inopiné doit être une situation évidemment non recherchée mais à laquelle il faut être préparé, si besoin au moyen d'un petit vol de simulation avec un instructeur.