Surcharge carburant

Pour le mois d'avril, l'incidence carburant prendra qui sera facturée au dernier jour du mois en compte les coûts suivants :

Voler moins cher...

Les coûts d'exploitation des avions font que malheureusement, et même en aéroclub, l'aviation de loisir reste assez onéreuse. Contrairement à ce qu'en pense toujours une partie du grand public, ce ne sont évidemment pas que des nantis qui ont cette passion de l'air, et beaucoup font de gros efforts sur leur budget pour satisfaire cette passion.

Pour autant, il existe des solutions permettant de limiter la charge financière de notre activité aéronautique. Nous n'en prendrons que trois exemples dans ces lignes, les plus significatifs dans le contexte d'aujourd'hui.

Dans de nombreux clubs, des pilotes ont coutume de se regrouper à trois ou quatre pour organiser des navigations, souvent d'une journée, avec généralement pour point d'orgue un bon déjeuner entre amis. Grâce à un parcours prévoyant autant de branches qu'il y a de participants, chacun ne paie que la partie du vol qu'il a effectué en tant que pilote en ayant profité d'un beau voyage aérien. Cette pratique est malheureusement peu répandue dans notre aéroclub, et c'est bien dommage.

Fin 2021, l'intégration d'un ULM dans la flotte avait entre autres pour objectif de donner accès à un appareil abordable en prix (130€/h). Pour des vols locaux ou des petites navigations en solo ou à deux, pourquoi ne pas profiter de cette machine plaisante, surtout que la réglementation autorise le report des heures effectuées sur le carnet de vol ? En peu de temps, les pilotes brevetés peuvent obtenir leur licence ULM et profiter de cette machine économique et ludique.

Enfin, toujours dans la perspective de limiter le coût de la pratique du vol loisir, le club a autorisé depuis novembre 2019 la pratique du "vol à frais partagés", souvent appelé co-avionnage, qui constitue une autre possibilité de voler moins cher. Les conditions fixées sont très accessibles (100 heures depuis l'obtention de la licence et 20 heures dans les 12 derniers mois) et l'économie à réaliser substancielle puisque le partage du coût du vol est réparti entre le nombre de sièges occupés. A ce jour, seuls deux pilotes du club ont demandé la validation du club pour pouvoir proposer des vols sur la plateforme "Wingly" partenaire de la FFA.

Que ceux d'entre-vous qui sont intéressés par cette possibilité et satisfont les critères requis n'hésitent pas à me contacter. Ayant moi-même testé le système, je pourrai vous expliquer le fonctionnement et vous guider pour déposer des propositions de vol.

Christian LECLERC

Bientôt un nouvel aménagement des abords du clubhouse

Jean Hugo ROUX, entré au Conseil d'administration lors de la dernière AG, a pris la responsabilité de mettre en place un programme d'animations visant à attirer le grand public vers la plateforme de Vimory.

Ce projet commence évidemment par revoir l'aménagement des abords du clubhouse, et notamment la terrasse bétonnée. Ce sera chose faite dans les prochaines semaines, et un budget a été voté au dernier Conseil pour créer sur cette terrasse un espace de convivialité, capable d'accueillir plusieurs dizaines de personnes. Cet espace sera notamment constitué de "zones salon" pouvant accueillir des groupes d'amis par exemple, et de la mise en place de nouvelles chaises et tables de terrasse. Si tout va bien, cet aménagement au moins la majeure partie du projet, pourrait être en place dès les prochaines journées portes ouvertes, prévues les 14 et 15 mai prochains.

Un article de presse dommageable pour le club

Un jeune journaliste de la République du Centre ayant proposé de rédiger un article sur l'aéroclub, un entretien ouvert et convivial avait été organisé avec Le Président et Raynald CAPUCCIATI, au cours duquel tous les aspects du fonctionnement du club ont été évoqués.

Aussi, quelle ne fut pas le surprise de plusieurs membres de découvrir un article intitulé "l'aéroclub a du plomb dans l'aile" ! Le contenu de l'article, maladroit et mal écrit, explique ce titre idiot et malveillant par l'évocation des pertes d'élèves liées à la crise du COVID, phénomène qu'ont d'ailleurs connues toutes les associations sportives et de loisir. 

Le club, sous la plume de son président, a rapidement réagi a cet article potentiellement préjudiciable à l'aéroclub auprès du journaliste concerné. Pour autant, le mal est fait et nous ne pouvons, encore une fois, que constater le pouvoir de nuisance des médias. 

Agenda 2022 

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